VIH : divulguer ou non ?

VIH : divulguer ou non ?

La preuve médicale en est faite : chez les personnes vivant avec le VIH et dont la charge virale est indétectable grâce à leurs traitements antirétroviraux, le risque de transmission du VIH est quasi nul — surtout s’il y a usage du condom. Dans ce contexte, doit-on divulguer notre séropositivité à notre partenaire sexuel ?

Un pharmacien invente l’allumette

Un pharmacien invente l’allumette

Certaines petites choses de la vie courante nous sont acquises, sans que nous en saisissions l’importance. Prenons l’allumette, par exemple. C’est à un pharmacien britannique du nom de John Walker (à ne pas confondre avec Johnnie Walker) que nous devons son invention, dans sa forme actuelle. Peut-être faudrait-il avoir vécu au 19e siècle pour comprendre à quel point il est agréable de pouvoir, aujourd’hui, « craquer » une allumette sans risquer de faire exploser la maison ou de devenir sourd en raison du bruit.

Crystal meth : forte dépendance et graves effets indésirables

Crystal meth : forte dépendance et graves effets indésirables

La méthamphétamine (le « crystal meth ») génère chez certaines personnes un rush ou un flash, c’est-à-dire un boost d’énergie, un sentiment d’euphorie intense et prolongé, et pour certains, une augmentation du plaisir sexuel. Cependant, c’est une drogue qui entraîne aussi une forte dépendance, et de nombreux effets indésirables sévères. De plus, elle est étroitement liée à la multiplication des partenaires et rapports sexuels non protégés, comportant un risque accru de transmission du VIH.

La syphilis refait surface 

La syphilis refait surface 

Alors qu’elle était pratiquement disparue à la fin des années 1990, la syphilis refait surface un peu partout, notamment en Amérique du Nord et en Europe. Cette résurgence touche principalement les hommes qui ont des relations sexuelles avec d’autres hommes (HARSAH).

Au Québec, plus de 600 cas ont été diagnostiqués en 2015. Dans la ville de Las Vegas seule, la situation semble prendre une allure quasi épidémique : 700 nouveaux cas ont été relevés pour cette même année. Les HARSAH constituent le groupe où l’on retrouve la majorité des nouveaux cas de syphilis.

Lamivudine (3TC), une découverte québécoise qui a sauvé des millions de vies

Lamivudine (3TC), une découverte québécoise qui a sauvé des millions de vies

La découverte de la lamivudine en 1989 a eu l’effet d’une révolution dans le domaine du VIH/sida. Alors qu’auparavant leur espérance de vie dépassait rarement les dix ans, les personnes vivant avec le VIH (PVVIH) peuvent désormais vivre longtemps et normalement. Et cela, notamment grâce à deux chercheurs québécois, Bernard Belleau et Mark Wainberg, qui ont respectivement découvert cette molécule, puis démontré son efficacité exceptionnelle.

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